Lire Fibro’Conscience politique PDF
(4 pages + le dessin du mois)
« FIBROMYALGIE : une souffrance en pleine lumière » témoignage
(4 pages + le dessin du mois)
L’eau sulfureuse : petite source villageoise où il fait bon y passer en période chaude
Source de la Loue : puissance et harmonie du lieu…
En Décembre 2011, je titrais « Papa Noël, je voudrais… » Guérir… Une évidence non ! Pourtant, la guérison tant attendue ne s’est pas manifestée… Pour plusieurs raisons je dirais. Lorsque je regarde un verre à moitié vide, je dois aussi le voir à moitié plein ! Ainsi, l’avantage d’une telle situation est que, quelques années plus tard, je suis plus riche de nouvelles pistes explorées… Et, en cette période où le cadeau est maître, je dépose ici un précieux présent.
Après vous avoir livré les indices « Eau, plantes et soin », sachant exactement le sujet que je voulais aborder, à savoir le lavement, trois autres pistes ont fait irruption dans mon cerveau, non satisfaites que je ne vous parle d’elles ! Et comme elles valent bien le détour, elles seront du voyage ! Comme un cadeau n’arrive jamais seul, je vous mettrai des photos et petits films, pour le plaisir des yeux.
1ère piste et non la moindre : LE LAVEMENT AU CAFÉ VERT
Comment l’ai-je découvert ? Mi-juillet 2015, je me présente à mon 1er RDV avec un gastro-entérologue / immunologue en Haute-Marne, très inspiré, doué. N’en pouvant plus des dysfonctionnements intestinaux qui s’intensifiaient jusqu’à m’empêcher de consommer quoi que ce soit à part la soupe et à l’origine de 35 allergies alimentaires, j’ai pris ce RDV. Après avoir consulté trois autres spécialistes aux verdicts époustouflants (mais cela est une autre histoire !), sachant intérieurement qu’un problème majeur résidait bien en mon ventre, ce RDV pris un an plus tôt (oui un an d’attente !) était pour moi comme la petite cerise sur le gâteau tant attendu, l’étoile sur l’arbre de Noël, ou celle guidant les rois mages…
Je passe les détails du RDV en deux étapes, des multiples conclusions, toutes plus intéressantes les unes que les autres… Ce spécialiste m’a laissée bouche-bée ; il m’énonçait deux points qu’aucun autre n’avait jusqu’alors dénichés : 1/ mon système de sudation est bloqué d’où un système nerveux pas très en forme, 2/ mon foie ne va pas bien du tout. (test par biorésonance et échographie). Il est à un fil de lâcher au regard du chiffre que le test émet, correspondant à la limite entre santé et cancer. Je comprends mieux ces douleurs dans la région de cet organe majeur.
Pour « récupérer » un fonctionnement normal du foie, le médecin me demande de pratiquer des lavements au café pendant trois mois. Je m’en retourne à la maison, armée d’un traitement à multi facettes pour les autres dysfonctionnements, et de cette seule information. Une flopée de questions arrivent, me taquinant comme de petits lutins joueurs :
Car voyez-vous ce qui est plus que positif en pareille circonstance est qu’une fois les pistes lancées, il est pour moi captivant de les suivre, expérimenter et ainsi me documenter un maximum. Roulement de tambour pour les explications !
Le café vert est un café non torréfié ; le café noir n’est pas conseillé pour une utilisation journalière du fait qu’en cuisant, de l’acrylamide apparait spontanément (tout comme dans tout autre aliment riche en hydrates de carbone (amidon, sucres) cuit à plus de 120°C), molécule cancérigène et reprotoxique. Il existe sur le marché du café blond légèrement torréfié… But du traitement : permettre sa mouture et ainsi faciliter son Infusion dans l’eau.
Troisième Noël que nous passons d’une certaine façon ensemble. Décembre 2010, la lettre titrait «La douleur chronique… réalité ou imposture ?» (informations données par Marion Berthelange, personnel médical en soins palliatifs et créatrice du site l’envolée d’or http://www.lenvoleedor.e-monsite.com), décembre 2011, le thème de la guérison était abordé avec «Papa Noël, je voudrais…». Après tant de souhaits restés infructueux, celle de 2012 se veut interrogative.
Non pas que je sois sous l’emprise des pro-FIN 2012 mais plutôt parce qu’il est toujours bon selon moi de s’ouvrir, s’interroger, se remettre en question. Je ne vous demande pas de croire ou d’y croire (mais à quoi me direz-vous… patience, vous le découvrirez plus bas) ; chacun est libre du chemin qu’il emprunte et je me veux juste être un éclaireur – parmi d’autres et oh combien petit – qui apportera sa petite contribution. Si René Descartes avait rencontré Allan Kardec, que se seraient-ils dits ? Finalement, Descartes ayant accepté la thèse selon laquelle le soleil était l’astre central de l’Univers, n’aurait-il pas accepté aussi celle qui dit qu’un autre monde semble nous échapper ?
Trêve de voyage cosmique, laissez-vous charmer par… les quelques pistes que je vous propose… ou pourquoi pas par le Père Noël… Chacun est libre de croire en ce qu’il veut.
Nous appartenons à un système où il n’est pas facile de sortir du moule, sous peu que les bien-pensants accusent ceux qui veulent suivre un autre chemin de médecine illégale, d’usurpation, d’escroquerie… Que dire, que penser, que faire ? Lourd questionnement. Au Moyen-âge, on brûlait les sorcières, à notre époque, on détruit la réputation d’une personne – assez facilement avec le net je dois dire –, sans compter les éventuelles poursuites juridiques…
Ainsi, régulièrement, je donne hors ligne les coordonnées d’un médecin qui permet de détoxiquer le corps des métaux lourds par un traitement chimique en intraveineuse (= chélation). En 2007, alors convaincue que les médicaments allopathiques que le généraliste me prescrivait allaient finir par avoir ma peau, je m’étais jurée de ne plus jamais en ingurgiter ! Ainsi, mise sur la piste des métaux lourds par Françoise Cambayrac, et malgré le fait d’en avoir échangé avec elle, il m’a fallu un an pour accepter que mon corps subisse les assauts d’autres produits chimiques. Depuis mai 2011, en attente de finir le traitement, je recherchais une piste plus respectueuse de ce corps que j’habite. Après avoir consulté les sites du Dr Montain et du Dr Klinghardt, j’ai pris rendez-vous avec un naturopathe formé par ce dernier. Quelle ne fût pas ma surprise de l’entendre me dire « dès le début du traitement, vos analyses montraient une faiblesse enzymatique. Le fait de décharger trop de cuivre et de zinc – qui sont aussi des métaux lourds positifs pour le corps – montre qu’il y a une lésion cellulaire. » Il me parle de blocage, des cellules qui relâchent des matériaux intracellulaires… Oups ! Mais j’avais choisi à l’époque la piste qui m’apparaissait la plus fiable pour me libérer le plus rapidement possible de l’état douloureux qui me terrassait. Mais les métaux lourds semblent avoir migré dans le cerveau et aileurs…
Prenons l’exemple du cancer, pour guérir des patients, des praticiens se sont penché sur les causes de la maladie plutôt que de se concentrer sur le traitement des symptômes. Herman Henry William Pauling, ouvre la voie du traitement naturel contre le cancer dans les années 40, alors atteint à 40 ans, d’une forme grave de la maladie de Bright (= insuffisance rénale chronique). Avec l’aide du Dr Thomas Addis de Stanford, il parvient à contrôler l’évolution de la maladie en suivant un régime faible en protéines et sans sel, inhabituel pour l’époque. Comme tous les patients d’Addis, il se voit également prescrire des vitamines et des sels minéraux. Par la suite, il entreprendra des recherches sur le pouvoir de la vitamine C prise à haute dose (concept développé par le biochimiste Irvin Stone).
D’autres médecins ont suivi des préceptes de même acabit et se sont vus poursuivre. Je pense entre autre au docteur Hamer.
Originaire de Franche-Comté, mon itinéraire professionnel surprend souvent. Tour à tour policier à Paris, responsable restauration à Vesoul, professeur d’hôtellerie-restauration à Poligny puis principale adjointe au collège Gérôme… Au final, ces univers m’enrichissent pour donner naissance à des lieux, des personnages….
Et l’écriture ?
Enfant et adolescente, j’écrivais assez facilement sans penser aller plus loin. Puis en 1989, âgée de 29 ans, j’ai gagné le 1er prix du concourt littéraire hôtelier « Hobart-hôtels Concorde » sur le thème « dis-moi dans quel hôtel tu dors, dis-moi dans quel restaurant tu manges, je te dirai qui tu es ». Mais de là à imaginer écrire un roman, non !
Et ce roman ?
Je vais régulièrement en Bretagne, affectionnant cette région, comme beaucoup de personnes. Mon grand-père paternel a vu le jour à Lorient (d’où le nom breton !). J’ai eu le privilège de passer deux étés à l’île de Bréhat chez des amis. En 2002, par une matinée ensoleillée, je me suis levée n’ayant comme unique but que celui de coucher l’histoire qui s’imposait d’elle-même dans mon esprit. Nuit et jour… Malheureusement, la maladie m’a séparée un temps de ce besoin d’écrire pour m’y ramener d’une manière encore plus tenace. Et je dois admettre que ce temps m’a fortifiée pour livrer une forme plus enrichie de « Reviens à Bréhat ».
Et les personnages ?
Le fil conducteur est une intrigue amoureuse selon un processus novateur pour 2002. Aujourd’hui, cela l’est un peu moins… Encore que…
Mais le roman est plus que cela, embarquant le lecteur en France – dans toute la Bretagne, Paris, Nice, en Corse (Ghisoni) et en pays comtois – et à l’étranger – Sénégal, Tunisie, Italie, un soupçon New-Yorkais et anglo-normand (îles de Sercq et Guernesey) –
Le plongeant dans l’univers de l’art, dans le monde culinaire avec, entre autre, deux scènes avec le célèbre Pierre Gagnaire.
Les personnages : Carole, sculptrice vivant d’un boulot de secrétaire, et Adrienne, galeriste, toutes deux franc-comtoises. Erwan Gérin, le beau breton, PDG de la multinationale familiale, Jean, son fils unique. Léontine, la gouvernante ; Mathias, l’homme à tout faire. Et encore Enzo, le peintre italien, Fab et Sky qui élèvent chèvres et lamas en pleine montagne corse, Stella, le top-model américain par qui le scandale va arriver, Lisandru, le médecin humanitaire, en apparence si bien…
« Amour, suspens et trahison. Une valse des sens et de l’esprit, au rythme des voyages de Carole. Comment ne pas succomber à la farandole de saveurs qui les émaille ? Comment ne pas palpiter en suivant cette jolie brune dans l’incroyable aventure où la conduit son audacieuse décision ? »
Corinne, professeur de lettres classiques, 46 ans
« Un voyage dans le monde tortueux des sentiments humains, sur fond de paysages idylliques, dans une Bretagne rêvée. »
Yannick, documentaliste, 35 ans
« Intrigue, rebondissements et surtout descriptifs de régions avec la précision et le détail font de ce roman un livre intéressant. Précisions également dans les domaines artistiques : sculpture, peinture. J’ai beaucoup apprécié cette lecture. »
Michèle, retraitée
« Histoire prenante, envoûtante même, dans des lieux enchanteurs, des univers inconnus ou partiellement connus (les fleurs, le monde culinaire), me donnant l’envie d’aller sur les traces des personnages, en Italie, en Corse et en Bretagne. Juste un moment de pur bonheur que je ne trouve pas dans tous les livres ! »
Mireille, assistante maternelle, 50 ans
« Même si ce n’est pas le genre de livre que je lis d’ordinaire, je me suis prêté à l’exercice, eu égard à ma compagne. Je dois reconnaître qu’il est plutôt bien écrit et avec un style qui lui est propre. L’histoire est prenante car sans cesse pleine de rebondissements, là où on ne les attend pas. Et quant à la fin, je me demande encore ce qui a pu motiver les derniers événements ! »
Alain, cuisinier, 58 ans
« Ce livre nous plonge dans un récit exaltant et surprenant, aux multiples rebondissements. D’une histoire d’amour, qui pourrait sembler banale, surgit une cascade de voyages intrigante où les personnages se retrouvent face à un destin inattendu. Le lecteur enchanté sera le témoin de la vie pas si ordinaire de gens simples et d’un amour tellement difficile à conquérir. »
Séverine, professeur d’anglais, 35 ans
« J’ai aimé le roman à partir du moment où les personnages prennent “ corps ” (et âmes…), deviennent consistants, dans leurs pensées, émotions, sentiments, dans ce qu’ils se découvrent peu à peu en commun. Ce sont vraisemblablement des épicuriens : passion pour l’art, dont la peinture, certains lieux – la Bretagne insulaire – et l’île de Bréhat, en particulier, le goût de la bonne chère et des bons vins…. Mais je dois avouer que j’ai failli stopper ma lecture lorsque j’ai découvert le mode de sélection de la « parfaite » épouse. Pour moi, c’est le summum du surfait et du clinquant qui nous révèle un personnage identique ou pire que ce petit monde snob dont l’auteure souhaite qu’il se démarque. Cela m’a mise mal à l’aise, se rapprochant quelque peu de la téléréalité. Mais au final, je ne regrette pas cette lecture car le roman ne se résume pas qu’à ce passage ; il vaut vraiment le détour. »
Annie, assistante sociale, 47 ans
Au mois d’octobre 2011, douze personnes se sont prêtées à l’exercice de lire le roman pour corriger les fautes et erreurs grammaticales et apporter leur avis. Toutes ont aimé le roman, en apportant quelques annotations sur des parties jugées un peu longues ou un peu courtes à leur goût. Une seule a été dérangée par l’intrigue qui est le point de départ du roman.
Puis en novembre, nous nous sommes réunis à quelques-uns pour en parler et voir les premières propositions de couvertures.
Puis j’ai repris les corrections, améliorations afin de permettre la relecture par deux nouvelles personnes en février 2012. J’ai poursuivi les corrections jusqu’en mai 2012 afin de livre le fichier définitif à l’imprimeur en juin.
Belle expérience que celle de pouvoir être maître de TOUT, du contenu jusqu’à la couverture finale. Ce que j’imaginais arrêté trouvait sans cesse des rebondissements, tant au niveau des corrections – et grâce au comité de lecture – que de l’aboutissement de la couverture.
Le comité de lecture se composait de :
– une femme au foyer (50 ans), grande lectrice de romans,
– une femme retraitée, grande amoureuse des livres,
– un professeur documentaliste (32 ans), dont la grande connaissance des livres a permis un travail de fonds important,
– deux professeures de français (42 ans et 45 ans), dont la littérature n’ont pas de secrets pour elles. Et deux autres professeures de français pour une deuxième lecture,
– une professeure d’anglais (35 ans), lectrice hors pair,
– un cuisinier (57 ans), mon ami, qui lit beaucoup, énormément mais pas de roman avec fonds d’intrigue amoureuse.
– une designer (27 ans), ma fille, pour savoir si le roman pouvait intéresser des femmes plus jeunes ou qu lisent des romans dit chick-lit,
– une étudiante en doctorat (25 ans), pour la cible jeune et dynamique !
– une assistante sociale (47 ans), fibromyalgique, rencontrée il y a quelques années. Je savais qu’elle avait participé à un comité de lecture et je lui ai proposé de se prêter à l’exercice.